Per quanto riguarda la crisi del debito sovrano in Italia e in Francia :
anche trattandosi di due paesi vicini che sono stati spesso legati dalla Storia
======> esaminando ogni situazione, il paragone tra Francia ed Italia si rivela assai paradossale.
Nonostante un debito pubblico italiano più importante della Francia
(il 121,1% del PIL italiano contro l'86,8% del PIL francese)
il tasso di indebitamento privato italiano si situa tra i più bassi dell'Europa :
==> le famiglie italiane non riccorono così tanto all'indebitamento.
Per di più l'Italia detiene un deficit commerciale minore rispetto a quello della Francia.
In Francia, l'indebitamento privato è colossale e il deficit commerciale oltremisura
==>il deficit previsto del commercio esterno per l'anno del 2011 si attesta ai 75 milliardi di euro,
oltrepassando quello record del 2008 (56,5 milliardi di euro).
Mentre il deficit commerciale italiano dell'anno 2011 non supera i 24,3 milliardi di euro
(rialzo del 11,4% delle esportazioni italiane soprattutto fuori eurozona).
Sia in Francia che in Italia, l'aspetto politico, oltre l'effetto domino comune all'intera Europa, rimane una delle principali cause di queste situazioni d'indebitamento dei paesi ; soprattutto in Italia dove il problema era dovuto in gran parte alla negligenza di Berlusconi.
In Francia, dove la spesa pubblica è una realtà, il problema del debito sovrano sembra più difficile da risolvere poiché più ancorato e profondo. D'altronde il debito continua di crescere. Il governo ha iniziato ad affrontare il problema del bilancio solo con la crisi del 2008.
Ad oggi ci possiamo interrogare : lo stato francese riuscirà a mantenere le sue ambizioni in termine di bilancio ?
L'endettement en France et en Italie
Analyse comparée de la dette en France et en Italie (dette publique, dette privée, dette des ménages).
Analisi comparativa del debito in Francia e in Italia (debito pubblico, debito privato, debito domestico).
vendredi 23 mars 2012
Synthèse
A propos de la crise de la dette souveraine en France et en Italie :
bien que s'agissant de pays voisins et ayant été souvent liés par l'histoire :
====== > La comparaison de la situation des deux pays se revèle très paradoxale.
En Italie, malgrè une dette publique plus importante qu'en France
(121,1% du PIB italien contre 86,8% du PIB français)
le taux italien d'endettement privé est parmi les plus bas d'Europe :
==> les ménages italiens ont un taux d'épargne réelle très élevé et ont peu recours à l'endettement. De plus le déficit commercial est beaucoup moins important que celui de la France.
En france, le taux d'endettement privé est colossal et le déficit commercial sans précédent :
==> le déficit prévu du commerce extérieur pour l'année 2011 s'élève à 75 milliards d'euros,
dépassant ainsi, bien largement, le triste record de 2008 (56,5 milliards d'euros).
Alors qu'en Italie, le déficit commercial de l'année 2011 ne dépasse pas les 24,3 millairds d'euros (hausse de 11,4 % des exportations italiennes, surtout hors zone euro).
Aussi bien en France qu'en Italie, l'aspect politique reste, quoi qu'il en soit et malgré une situation domino commune à toute l'europe, une des principales causes pouvant aujourd'hui expliquer de telles situations d'endettement ; notamment en Italie où le problème est essentiellement d'ordre politique, lié à la négligence de l'ancien premier ministre Berlusconi. Les choses devraient toutefois rentrer dans l'ordre grâce à monsieur Monti.
En revanche, en France, dans un pays où la dette aussi bien privée que publique s'enlise depuis de nombreuses années et continue encore d'augmenter, le mal est plus profond. Et pourtant, la prise de conscience de l'état n'a eu lieu qu'avec la crise de 2008. L'Etat réussira t-il à tenir ses objectifs en matière de réduction des dépenses publiques ?
bien que s'agissant de pays voisins et ayant été souvent liés par l'histoire :
====== > La comparaison de la situation des deux pays se revèle très paradoxale.
En Italie, malgrè une dette publique plus importante qu'en France
(121,1% du PIB italien contre 86,8% du PIB français)
le taux italien d'endettement privé est parmi les plus bas d'Europe :
==> les ménages italiens ont un taux d'épargne réelle très élevé et ont peu recours à l'endettement. De plus le déficit commercial est beaucoup moins important que celui de la France.
En france, le taux d'endettement privé est colossal et le déficit commercial sans précédent :
==> le déficit prévu du commerce extérieur pour l'année 2011 s'élève à 75 milliards d'euros,
dépassant ainsi, bien largement, le triste record de 2008 (56,5 milliards d'euros).
Alors qu'en Italie, le déficit commercial de l'année 2011 ne dépasse pas les 24,3 millairds d'euros (hausse de 11,4 % des exportations italiennes, surtout hors zone euro).
Aussi bien en France qu'en Italie, l'aspect politique reste, quoi qu'il en soit et malgré une situation domino commune à toute l'europe, une des principales causes pouvant aujourd'hui expliquer de telles situations d'endettement ; notamment en Italie où le problème est essentiellement d'ordre politique, lié à la négligence de l'ancien premier ministre Berlusconi. Les choses devraient toutefois rentrer dans l'ordre grâce à monsieur Monti.
En revanche, en France, dans un pays où la dette aussi bien privée que publique s'enlise depuis de nombreuses années et continue encore d'augmenter, le mal est plus profond. Et pourtant, la prise de conscience de l'état n'a eu lieu qu'avec la crise de 2008. L'Etat réussira t-il à tenir ses objectifs en matière de réduction des dépenses publiques ?
jeudi 22 mars 2012
Comparaison France-Italie
FRANCE Dette brutte en 2011 : 1.726,70 Md€ Evolution de la dette sur 10ans : +89,6% Deficit en 2010 (en % du PIB) : 7,1% | ITALIE Dette brutte en 2011 : 1.924,24 Md€ Evolution de la dette sur 10ans : +40,6% Déficit en 2010 (en % du PIB) : 4,6% |
Un barlume di speranza : la strategia "Europa 2020"
Europa 2020 o la sfida della crescita ?
La strategia Europa 2020, adottata a marzo dell'anno scorso dalla Commissione, punta a rilanciare l'economia dell'Unione europea nel prossimo decennio.
Con questa nuova strategia che si sostituisce a quella di Lisbona, l'Unione europea si propone di diventare un'economia intelligente, sostenibile e solidale. Queste tre priorità che si rafforzano a vicenda intendono aiutare l'UE e gli Stati membri a conseguire elevati livelli di occupazione, produttività e coesione sociale. In pratica quindi l'Unione si è posta cinque ambiziosi obiettivi, in materia di occupazione, innovazione, istruzione, integrazione sociale e clima/energia ; da raggiungere entro il 2020.
Nell'ambito del nostro soggetto cioè la crisi del debito ci interessa soprattutto tutta la parte dedicata alla crescita e all'impiego perché come l'abbiamo evocato più volte : senza crescita non ci sono consumi.
La strategia Europa 2020, adottata a marzo dell'anno scorso dalla Commissione, punta a rilanciare l'economia dell'Unione europea nel prossimo decennio.
Con questa nuova strategia che si sostituisce a quella di Lisbona, l'Unione europea si propone di diventare un'economia intelligente, sostenibile e solidale. Queste tre priorità che si rafforzano a vicenda intendono aiutare l'UE e gli Stati membri a conseguire elevati livelli di occupazione, produttività e coesione sociale. In pratica quindi l'Unione si è posta cinque ambiziosi obiettivi, in materia di occupazione, innovazione, istruzione, integrazione sociale e clima/energia ; da raggiungere entro il 2020.
Nell'ambito del nostro soggetto cioè la crisi del debito ci interessa soprattutto tutta la parte dedicata alla crescita e all'impiego perché come l'abbiamo evocato più volte : senza crescita non ci sono consumi.
samedi 18 février 2012
La Commission européenne s'inquiète des déséquilibres aussi bien internes qu'externes de la France et de l'Italie
La Commission européenne a présenté un rapport d'alerte pour tenter d'identifier les dérives macroéconomiques des Etats membres. Douze pays, dont France et Italie, sont concernés dans ce travail destiné à repérer à travers plusieurs indicateurs (cf. ci-après) les déséquilibres potentiellement dangereux. En effet, la crise n'a pas seulement révélé que le Pacte de stabilité, qui interdisait l'endettement public et les déficits publics excessifs, n'avait pas fonctionné mais elle a aussi montré que les difficultés de la zone euro ne prenaient pas toujours racine dans la dette publique, mais aussi dans l'endettement privé des ménages et des entreprises. Toutefois, jusqu'à présent, la question de l'endettement privée ne semblait pas être extrêmement considérée vu le peu d'articles que ce soit dans la presse ou le manque d'informations à ce sujet. Et pourtant, la Commission signale bien dans ce même rapport (Les Echos, 15 Février) que l'endettement privé en France a atteint sa limite haute, c'est à dire 160% du PIB.
Les indicateurs permettant d'identifier les déséquilibres des pays membres (notamment dans notre cas France et Italie) selon le rapport de la Commission :
I- Indicateurs externes
A.Balance des paiements courants (en % du PIB)
B.Position extérieure nette (en % du PIB)
C.Part de marché à l'export (sur 5ans, en %)
II- Indicateurs internes
D.Coût unitaire du travail (sur 3ans, en %)
E.Prix des maisons (variations annuelle en %)
F.Crédit au secteur privé (flux, en % du PIB)
G.Dette du secteur privé (en % du PIB)
H.Dette publique (en % du PIB)
I.Taux de chômage (moyenne sur 3ans, en %)
La france est épinglée au niveau des critères suivants :
C -19,4%
D +7,2%
E +5,1%
F +2,4%
G +160%
H +82%
Note :les critères en gras sont les critères dépassant le seuil d'alerte. La Commission européenne tire donc la sonnette d'alarme en France pour ce qui concerne la balance des paiements courants, le taux de dette privée et celui de dette publique.
En italie, les déséquilibres les plus importants ne sont pas les mêmes que ceux de la France et concernent notamment les indicateurs suivants :
A -2,8%
B -23,9%
C -19%
D +7,8%
H +118%
I +7,6%
Concernant les indicateurs dépassant le seuil d'alerte (ceux en gras), sont visés, en France comme en Italie, les parts de marchés à l'export (-19,4% pour la France, -19% pour l'Italie) et le taux de dette publique. Toutefois, contrairement à la France, l'Italie n'a pas atteint le seuil d'alerte au niveau de sa dette privée.
Les indicateurs permettant d'identifier les déséquilibres des pays membres (notamment dans notre cas France et Italie) selon le rapport de la Commission :
I- Indicateurs externes
A.Balance des paiements courants (en % du PIB)
B.Position extérieure nette (en % du PIB)
C.Part de marché à l'export (sur 5ans, en %)
II- Indicateurs internes
D.Coût unitaire du travail (sur 3ans, en %)
E.Prix des maisons (variations annuelle en %)
F.Crédit au secteur privé (flux, en % du PIB)
G.Dette du secteur privé (en % du PIB)
H.Dette publique (en % du PIB)
I.Taux de chômage (moyenne sur 3ans, en %)
La france est épinglée au niveau des critères suivants :
C -19,4%
D +7,2%
E +5,1%
F +2,4%
G +160%
H +82%
Note :les critères en gras sont les critères dépassant le seuil d'alerte. La Commission européenne tire donc la sonnette d'alarme en France pour ce qui concerne la balance des paiements courants, le taux de dette privée et celui de dette publique.
En italie, les déséquilibres les plus importants ne sont pas les mêmes que ceux de la France et concernent notamment les indicateurs suivants :
A -2,8%
B -23,9%
C -19%
D +7,8%
H +118%
I +7,6%
Concernant les indicateurs dépassant le seuil d'alerte (ceux en gras), sont visés, en France comme en Italie, les parts de marchés à l'export (-19,4% pour la France, -19% pour l'Italie) et le taux de dette publique. Toutefois, contrairement à la France, l'Italie n'a pas atteint le seuil d'alerte au niveau de sa dette privée.
vendredi 17 février 2012
Monti rinuncia alle Olimpiadi di Roma 2020 per motivi di bilancio
Il governo Monti ha deciso, che in questo momento l’Italia non può permettersi la candidatura, visti i troppi punti oscuri riguardo ai costi e in questo momento il Governo non ha possibilità di sostenere una mole finanziaria come quella dei giochi olimpici che graverebbe soprattutto sulle finanze italiane. Bisogna dire che il caso della Grecia non ci è estraneo. In effetti, si dice che la situazione della Grecia abbia origine proprio dalle Olimpiadi del 2004.
Comunque sia, in Italia non sono mancate repliche a questa decisione, primo fra tutti il sindaco di Roma Gianni Alemanno, propenso alla designazione ai giochi del 2020 della Capitale, favorevoli invece alla scelta del Primo Ministro il leader della Lega, Bossi e del Partito Democratico, Bersani.
mercredi 1 février 2012
Focus sulle agenzie di rating
Le agenzie di rating sono delle società private il cui obiettivo è di fornire analisi sulla solvibilità cioè la capacità di rimborsare i prestiti e l’interesse degli emittenti, pubblici e privati, di obbligazioni. Il risultato di queste analisi viene chiamato rating (valutazione). Le principali agenzie sono tutte statunitensi: Moody's, Standard & Poor's e Fitch.
Infatti il rating si divide in due principali categorie: il rischio commerciale ed il rischio paese, ma non misura altri tipi di rischi quale il rischio di tasso o di cambio, ecc.
La valutazione della capacità del debitore di far fronte al rimborso del proprio debito finanziario viene fornita ricorrendo ad una scala alfabetica che va da un valore massimo ad uno minimo. Ovviamente più è alto il rating, minore è il rischio di investimento.
Si può far risalire l'origine del rating con il documento "History of Railroads and Canals in the United States" (Storia finanziaria delle ferrovie e dei canali degli Stati Uniti), pubblicato da Henry Varnum Poor. Durante la sua vita Poor si batté affinché le aziende fossero obbligate a rendere pubblici I loro bilanci al pubblico e a possibili investitori. Colse questo appello il figlio Henry William, che insieme a Luther Lee Blake, un analista finanziario, crearono indici finanziari chiari e trasparenti, fino alla fondazione dell'agenzia di rating Standard & Poor's.
Creare un'agenzia europea di rating in grado di valutare in modo obiettivo l'Europa ?
In questo periodo di crisi e soprattutto dopo la bocciatura della Francia da parte da Standard & Poor's, queste agenzie fanno polemica. Per Mario Draghi, il presidente della Banca centrale, bisogna ridimensionare il peso delle agenzie. D'altronde, questi giorni è emersa l’idea di creare un’agenzia europea di rating. Anche se queste agenzie attuali pongono la questione della parzialità nell’attribuzione del rating, l'idea non sembra così pertinente. Oltre al controllo permanente e chiaramente consentito che deriverebbe della creazione di tale agenzia europea, un’agenzia di questo tipo, pubblica, non avrebbe alcun valore rispetto alle altre private e già esistenti. Nessuno ci si fiderebbe.
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